Cela fait déjà quelques minutes qu’il est à genoux, le dos tourné au groupe.
Trois garçons, un peu plus âgés, sont à côté de lui, ils bavardent et ricanent.
Derrière lui, il entend les adultes qui parlent à voix basse et rient.
Cela fait déjà quelques minutes qu’il est à genoux, le dos tourné au groupe.
Trois garçons, un peu plus âgés, sont à côté de lui, ils bavardent et ricanent.
Derrière lui, il entend les adultes qui parlent à voix basse et rient.
Mes conclusions sur l’affaire de mœurs qui a secoué Montauban en 1949. Où se trouvait le véritable scandale ?
Une affaire de mœurs qui colle à une ville. Quel fut le véritable scandale ? Voici mes conclusions en deux parties.
L’affaire qui a donné naissance à l’expression “être de Montauban” a eu un traitement par la presse qui montre bien la répression morale et l’homophobie de l’époque.
Avant de présenter mon enquête sur l’expression “être de Montauban”, il me faut replacer les faits dans un contexte et vous parler de la France homophobe.
Le film Les Tontons Flingueurs de Michel Audiard a rendu célèbre ma ville de naissance grâce à la réplique “On ne devrait jamais quitter Montauban”. Mais connaissez vous l’expression “Être de Montauban” ?
J’ai 17 ans. En revenant du lycée, je passe tous les jours devant cette maison et, comme si je me sentais observé, je hâte le pas, systématiquement, mais pas suffisamment.
Le jour où une poterie m’a fait comprendre, entre autre, que je n’avais pas les mains d’or de mon père.
Une attaque homophobe au collège m’a permis de ne plus en être victime grâce aux leçons de Maïté, ma professeur de judo.